On reproche à nos églises d'être de grosses bâtisses anciennes, donc coûteuses en entretien. Mais si le but premier est l'ouverture maximale aux fidèles, le second est d'attirer en nombre les visiteurs, qui font vivre le Perche.
Si notre tempérament individualiste ne pousse pas aux actions communes entre associations du patrimoine, on peut tout de même imaginer de nouveaux services disponibles sur internet via des applications: "il n'est pas toujours facile d'apporter de l'innovation dans un monde séculaire qui n'a pas beaucoup d'argent".
C'est ce qu'illustre l’intéressant article de Claire Bommelaer, paru dans le Figaro du 15/16 décembre. (publié en PJ avec son autorisation)
Bonne lecture